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Danh sách câu hỏi:
Câu 5:
Tout le monde peut se promener dans un jardin public mais on n'ose pas entrer dans un jardin .
Câu 10:
Pour être en bonne santé, il faut pratiquer une activité physique pendant au moins 15 minutes jour.
Câu 16:
Vos meubles sont d’un style classique et élégant tandis que sont plutôt modernes et industriels.
Câu 30:
La phrase “Maman à nous : - L’entreprise me propose d’aller travailler à Biarritz.” correspond à
Đoạn văn 1
LES PAPAS VEULENT DU TEMPS POUR LEURS ENFANTS
Quand tes parents étaient petits, il était rare que les pères racontent des histoires à leurs enfants le soir, leur donnent le bain ou les fassent dîner. Mais, aujourd'hui, les papas (35) _____ de plus en plus dans l'éducation des enfants. Toutefois, les mamans effectuent toujours la majorité des (36) _____ ménagères et rentrent plus tôt du travail que les pères. Une enquête a été menée auprès des pères qui ont des postes (37) _____ dans de grandes entreprises : ce sont des papas qui sont les « patrons » d'autres papas, donc plus ils s'occupent de leurs enfants, plus ils permettront à d'autres pères de le faire. Ainsi, l'enquête signale le début d'un réel changement : plus de la moitié de ces pères aménagent leur temps de travail pour s'occuper des enfants. Par exemple, ils rentrent plus (38) _____ et travaillent chez eux sur leur ordinateur portable, une fois les enfants couchés. Un père sur trois serait même prêt à renoncer, un temps, à avoir un poste plus important. Enfin, 15 % de ces pères fonctionnent encore comme les pères de tes parents. Toutefois, ils confient que la situation est difficile pour eux et que leurs enfants (39) _____ manquent beaucoup.
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Đoạn văn 2
Souvenirs d’enfance dans un « petit pays »
Papa et moi, nous avons passé Noël en tête à tête. J’ai reçu en cadeau un vélo BMX rouge orné de lanières multicolores qui pendaient aux poignées. J’étais si heureux qu’aux premières lueurs du matin de Noël, avant même que Papa ne se réveille, je l’ai apporté chez les jumeaux qui vivaient dans la maison en face de chez nous, dans l’impasse. Ils étaient impressionnés. Ensuite, on s’est amusés à faire des tchélélés dans le gravier. Papa est arrivé dans son pyjama rayé, furieux, et m’a giflé devant mes copains pour avoir quitté la maison si tôt sans le prévenir. Je n’ai pas pleuré, ou juste quelques larmes, certainement à cause de la poussière soulevée par les dérapages ou d’un moucheron coincé dans l’oeil, je ne sais plus trop.
Pour le jour de l’An, Papa a décidé de m’emmener en randonnée dans la forêt de la Kibira. Nous avons passé la nuit chez les pygmées du village des potiers, à plus de 2 300 mètres d’altitude. La température avoisinait zéro degré. A minuit, Papa m’a autorisé à boire quelques gorgées de bière de banane, pour me réchauffer et pour fêter cette nouvelle année 1993 qui débutait. Puis nous nous sommes couchés sur la terre battue, blottis les uns contre les autres autour du feu.
Source : Gaël Faye, Petit pays, Grasset et Fasquelle, 2016
Đoạn văn 3
Le web surfe sur la vie de quartiers
L’échange de services entre voisins, c’est ce que propose Mon p’ti voisinage, réseau social de proximité qui essaime dans toute la France. 30 000 inscrits en décembre 2015, 80 000 en avril 2016.
« Pourquoi acheter un appareil à raclette ou un taill-haie dont on ne se servira qu’une fois par an ? » Mathieu, 41 ans, fait partie de ces Français séduits par l’économie du partage. Plutôt que d’encombrer ses placards, cet habitant de Saint-Malo préfère emprunter les objets qui lui manquent, sans être indispensables. En cette mi-avril, il se procurerait bien un surf pour s’initier à la glisse. Et il n’a pas à prospecter longtemps. Sur Mon p’ti voisinage, réseau social auquel il s’est inscrit en novembre 2015, il repère qu’un habitant de son quartier, Yvon, accepte de lui en prêter un pour quatre semaines, en échange d’un coup de main pour installer un antivirus sur son ordinateur. Quelques clics plus tard, le marché est conclu. Profitant de sa pause-déjeuner, Yvon passe chez Mathieu, féru d’informatique, déposer la planche et glaner quelques conseils. « Comme je ne suis pas de la génération qui a grandi entourée d’écrans, c’est pratique de pouvoir compter sur un expert », témoigne-t-il. Membre du réseau depuis un mois, il apprécie d’étoffer son carnet d’adresses. « Souvent on ne connaît que nos voisins les plus proches, qu’on se contente de saluer. De là à se prêter des affaires, il y a quand même un pas à franchir. » En listant les attentes et les compétences de chacun, le site permet de briser la glace.
Depuis sa création en 2014, Mon p’ti voisinage aurait permis 25 400 partages d’objets et de services. Des objets trouvés aux propositions d’achats groupés, en passant par du covoiturage, le site agrège une trentaine de services. « Pour prêter ou louer une voiture, il existe une multitude de sites spécialisés. Mais il faut prendre le temps de comparer les offres. Sur Mon p’ti voisinage, on visualise aussitôt les contacts intéressés », explique David Rouxel, l’initiateur du réseau. Ce Breton passé par la Silicon Valley et le Japon croit au local, bénéfique pour « le lien social, le porte-monnaie et la planète. » Mais pour qu’un dynamique d’enclenche, il faut faciliter les partages et la confiance. […]
Aurélie Djavadi, Le Magazine Le Parisien, 27 mai 2016
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